
Les Restos du Cœur : ouverture ce 21 novembre, trop de demandes, des refus à contre-coeur
La 29 ? campagne d’hiver des Restos du cœur débute ce mardi 21 novembre sur fond d’inflation et d’explosion du nombre de demandes de bénéficiaires.
La publication du déficit public 2018 de la France de 2.50% du PIB, moins mauvais qu’attendu (2.70%), semble être un signe positif pour de nombreux observateurs. La dette du pays continue cependant de gonfler, pour atteindre le montant astronomique de 2.315 milliards d’euros, soit 98.40% de la production de la richesse nationale.
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Le déficit public français a atteint l’an passé l’équivalent de 2,5% du produit intérieur brut (PIB), en baisse de 0,3 point sur un an, et reste ainsi dans les clous du pacte de stabilité européen avant une remontée déjà programmée au-dessus du seuil de 3% en 2019, selon les données publiées mardi par l’Insee.
L’institut, qui publie les premiers résultats des comptes nationaux des administrations publiques pour 2018, fait état dans le même temps d’une hausse de 56,6 milliards d’euros de la dette publique de la France l’an passé, inférieure à celle de 2017 (+70,2 milliards), à 2.315,3 milliards d’euros. Rapportée au PIB, elle reste en revanche stable à 98,4%.
Le déficit 2018 est le plus faible depuis 2006 en proportion du PIB et ressort en-dessous du niveau indiqué (2,7%) dans la loi de finances pour 2019 votée à la fin de l’an passé. Le ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, avait depuis fait savoir que le rendement meilleur que prévu des recettes fiscales, malgré une croissance de l’économie inférieure aux attentes initiales pour l’an passé, devait permettre d’atteindre 2,6%.
En volume, le déficit public 2018, qui agrège les soldes des comptes de l’Etat, des collectivités locales et des administrations de Sécurité sociale, a atteint 59,6 milliards d’euros contre 63,6 milliards un an plus tôt. Sa principale composante, le budget de l’Etat, a progressé à 69,9 milliards d’euros contre 66,1 milliards un an plus tôt, sous l’effet du coût des baisses de prélèvements obligatoires mises en oeuvre l’an dernier, dont la diminution de la taxe d’habitation, de l’impôt sur les sociétés ainsi que des cotisations salariales.
A l’inverse, la Sécurité sociale a vu son excédent doubler (10,7 milliards après 5,3 milliards). Les collectivités locales ont dégagé elles aussi un solde positif (+2,3 milliards après +1,6 milliard) et ce, pour la troisième année consécutive.
Les dépenses publiques ont augmenté globalement de 1,9% l’an passé, après 2,3% en 2017, à 1.318,5 milliards. La hausse des seules dépenses de fonctionnement a ralenti à 1,4% contre 2,6% en 2017, avec le retour au gel du point d’indice de la fonction publique. Les dépenses totales ont atteint 56,0% de la richesse nationale l’an passé, soit 0,4 point de moins qu’en 2017.
Les recettes ont progressé parallèlement de 2,3% (contre +3,8% en 2017), avec notamment une hausse de 6,2% des impôts sur le revenu et le patrimoine liée notamment au relèvement de la [a[CSG]a], une progression de 4,3% des impôts sur les produits et la production et un recul de 1,7% des cotisations sociales perçues. Le taux de prélèvements obligatoires a diminué à 45,0% du PIB par rapport au record de 45,2% enregistré un an plus tôt, 2017 ayant été marqué par une contribution exceptionnelle de l’impôt sur les sociétés des grandes entreprises en fin d’année.
La 29 ? campagne d’hiver des Restos du cœur débute ce mardi 21 novembre sur fond d’inflation et d’explosion du nombre de demandes de bénéficiaires.
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